La politique

Le Putsh des généraux

Dés 1958, de Gaulle a déclaré vouloir trouver une issue politique à la guerre d’Agérie. En janvier 196, les Français ont approuvé, lors d’un référendum, le principe de l’autodétermination. Une partie de l’armée, en passe de gagner la guerre, se sent trahie. Le coup de force qu’elle organise en avril 1961 constitue l’une des rares tentatives d’interventions militaire dans la politique de la France. En effet, dans la nuit du 21 au 22 avril 1961, des unités parachutistes et de légionnaires, diriger par les généraux Challe, Salan, Jouhaud et Zeller, s'emparent des centres stratégiques d'Alger. Cinq jours plus tard, confrontés à la fermeté du général de Gaulle et au légalisme du contingent, les soldats perdus de l'Algérie se rendent ou prennent la fuite. Sans avoir réussi à déstabiliser la République. C'est ce qu'il appelle le PUTSCH DES GÉNÉRAUX .

Une bavure policière

Le massacre du 17 octobre 1961 désigne la répression ayant frappé une manifestation organisée par le Front de Libération Nationale Algérien (FLN) en faveur de l'indépendance de l'Algérie à Paris. Des dizaines à des centaines d'algériens sont morts lors de la confrontation avec les forces de l'ordre dirigées par le préfet de police Maurice Papon. Certains d'entre eux ont été jetés dans la Seine. Les manifestants internés dans des centres de détention dans lesquels ils sont restés enfermés pendant quatre jours et qui ont subis des violences.